Mieux vaut mort-vivant que rien
Si trouille
Pour Halloween, le 31 octobre prochain, l’association des commerçants du Bouffay jette l’éponge. Pas question de payer une escouade de vigiles et de videurs professionnels, comme les y oblige une loi Pasqua pour un rassemblement de plus de 1 500 personnes. Chaque bistrot fera donc l’accueil des vampirettes et des morts-vivants devant son comptoir, sans coordination ni animation de rue, comme l’an dernier (danse macabre, musique, maquillage pour les retardataires) où le budget était de 200 000 F pour quelques 25 000 visiteurs. Comme quoi, même vivant, Pasqua réussit à faire suer les vampires d’un soir.