L’ÈRE DES CONS FINIS
Tout faux !
Ils font de la fausse neige pour piste de ski, veulent des fausses vagues pour faire mumuse en pleine cambrousse. Ils ont truqué le sable de La Baule en pompant l’eau de mer sous la plage pour la recracher en mer. Sans parler des patinoires de plein air, des parasols qui chauffent dehors aux terrasses des bars, des vignes qu’on aère avec des ventilos maousses… L’économie du désastre assume l’absurde partout. L’industrie, le commerce, le tourisme de Loire-Inférieure se foutent bien de l’urgence climatique. La crise sanitaire mondiale et son scénario d’effondrement serviront-ils de leçon ?
Au sommaire :
Y aura-t-il de la neige à Noël ? Pas sûr, mais l’industrie du toc y pourvoira.
- La traite des patinoires
La glace de Noël brave le climat des Trouducs de Bretagne, et on patine dans la semoule.
- Chaufferettes des quatre saisons
- Sauve-qui-peut la plage
Après avoir baladé du sable, La Baule pompe et recrache de l’eau de mer. En mer.
- L’improbable piscine à bosses
Énergie, sécurité sanitaire, terres agricoles sacrifiées… Le surf park doit essuyer quelques méchantes vagues.
- Le parc antidésastre
Faux lac, vrai béton, mais pas de surf en chambre. On est déçus.
- Muscadet chauffé