La ville postcohérente
À Nantes métropole, la transition énergétique, c’est du sérieux. Pour remotiver en interne les troupes, un tantinet désabusées, et persuader le citoyen que la concertation, c’est pas du pipeau, le techno-langage s’enhardit : la « direction générale à la cohérence territoriale » devient « direction générale à la fabrique de la ville écologique et solidaire ». Beaucoup plus clair en effet que « direction générale de l’urbanisme », le très ancien intitulé. Au passage, on a sacrifié la cohérence des terriers toralistes.