N°122 – sommaire

Publié par lalettrealulu le

Et quoi qui n’y a, dans La Lettre à Lulu n° 122, novembre 2022 ?

Un journal garanti cent pour cent local, durable depuis 1995, certifié sans trace de 2024.

Un peu de corruption de fonctionnaire : champagne à gogo et resto chicos au stade de France pour quatre cadres de la Région, tous frais payés par une grosse boîte d’infomatique qui a le marché des fournitures de 48 000 ordis distribués chaque année aux lycéens.

Un brin de propagande : le mag de la Région truque une interview en donnant la parole à un pseudo expert, vrai ultra libéral, qui parle de tout sauf de la région.

De l’embrouille de patrons : les petites mains de l‘éléphant en bois commis à la retape de pleurniche-chantage après l’abandon de l’arbre aux hérons.

Une revendication : démonter l’escalier de la carrière Misery, fruit d’un marché très très très douteux.

Un grain de station balnéaire en panique : y aura-t-il assez de loufiats dans les palaces baulois ?

Huit pages, disponible en kiosque pour 2 €, en vrai papier, ou chez nos amis dépositaires : la liste des points de vente.

Et aussi par correspondance ici, en vrai papier, ou en pdf, même tarif, par là.

Un moment d’angoisse : et si les piscines non déclarées se faisaient repérer par le fisc aidé par Google ?

Un nuage de flou : l’écolabel nantais qui écorackette les évenements, version écodiscount, en les obligeant à écotrier leurs déchets et écoconsigner leurs gobelets.

Une pointe de discorde : le Medef 44 menacé de délabellisation par le Medef national.

Un doigt de chair à patron : la réforme des lycée pro de Loire Inférieure, entre rage et déprime des profs.

Une goutte de fleuve sauvage apprivoisé : le parlement de Loire mal traduit en un monologue soporifique.

Une ombre au tableau : un techno banc connecté qui prétend décaniculer une plateforme de béton sous le cagnard.

Une pluie de paillettes : Nantes université craque 300 000 € pour célébrer en un soir la troisième version d’un regroupement et changement de nom. Au même moment, la précarité ne change pas de dénomination.

Une pointe de doute quant aux 5000 chênes que la maire de Nantes a promis de planter.

Un coup de fusil aviné. On ne va quand même pas interdire l’alcool à la chasse, un flingue à la main, un canon de l’autre ?

Et tout en gribouillages et croquis croquignolets :

  • les caméras de surveillance au Pallet, en version bingo ;
  • une audience de classe au tribunal ;
  • une pseudo fête paysanne, faire-valoir des promoteurs…