N°131 – sommaire

Publié par lalettrealulu le

La Lettre à Lulu 131 est de sortie. C’est le numéro d’hiver. Toujours à 2€, toujours soigneusement irrégulomadaire (et c’est pas si facile à respecter, l’irrégulomadairité)
Ce numéro est unique : il a été décidé de ne plus jamais refaire de numéro 131. C’est pas négociable. On ne reviendra pas là-dessus.

Disponible partout où on le trouve, notamment ici ou sur demande en ligne, format papier ou en pdf.

Qu’est ce qu’on y raconte dans ce journal pas du jour ?

Que le port baratine d’improbables promesses bas carbone. Que les ultradis, soutenus par un groupe immobilier, veulent leur école de bénitier à Abbaretz. Qu’une start up nantaise gère l’entre soi chic et réac des petites annonces. Que le préfet met à la rue des familles entières. Qu’une star de la SF rebelle sert la soupe touristique. Que le commerce sans commerçant gagne la campagne. Que les collégien·nes sont sommé·es de croire aux jobs mirifiques.


C’est à dire : 

  • Le port bas carbonimenteur. Ou comment sauver le bilan carbone avec plus de cimenteries, d’usines à asphalte et d’une tuyauterie géante pleine de CO2.
  • « Gens de Confiance ». La start up nantaise qui gère le BonCoin version BCBG réac.
  • Abbaretz : derrière l’école intégriste, l’empire immobilier.
  • Logement : un logeur raciste, un préfet condamné, des familles à la rue.
  • Épicerie sans personne dedans : les déserts ruraux encore moins peuplés.
  • Musée Jules-Verne : propagande d’un auteur star de la science fiction.
  • « Big band de l’Emploi », une foire aux illusions de métiers pour ados.
  • Gare SNCF : une mezzanine en surchauffe.
  • Bords de l’Erdre : la guérilla des tabourets.
  • La Baule : l’arnaque qui coûte la peau des fesses mise à poil.