Le troisième notaire prend la mouche
Droit de réponse
Une trentaine de mots évoquant Me Busson comme troisième larron dans l’article « Les Maîtres ennemis », motivent un droit de réponse de 225 mots où il explique qu’il ne s’est pas installé à Vigneux-de-Bretagne comme indiqué par l’article, mais d’abord à Saint-Philbert-de-GrandLieu en 1992, puis à Vigneux quatre ans plus tard. Il affirme n’avoir « en aucun cas détourné quelque clientèle que ce soit, ce qui a été confirmé à deux reprises par la Chambre départementale des notaires (en juin 1993) et par la tribunal de grande instance de Nantes (en septembre 1997).»
Ce cher notaire oublie de dire, primo que le rapport des notaires ne prend pas de sanction contre lui mais reconnaît que le nombre d’anomalies vaut présomption contre lui, et deuxio que la décision de justice en sa faveur est frappée d’appel, donc en attente d’un jugement définitif. Mais relever l’oubli, c’est comme lever une hypothèque, on ne sait pas où ça retombe.