Edmond maire de Nantes
La section CFDT de la mairie prend la défense de son patron. Jugeant le titre de L’Hebdo « racoleur », une note interne du syndicat qualifie le commentaire du jugement « d’inamical », « cet article pouvant laisser entendre qu’il n’y a pas d’organisation syndicale défendant les intérêts des personnels à la Ville de Nantes ». Et la CFDT de rappeler que les relations entre la direction de la mairie et les syndicats « sont, à maints égards, correctes ». La section syndicale dénoncent quelques mauvais coucheurs qui « considèrent le statut comme une vache sacrée et par paresse syndicale, par volonté d’immobilisme ou pour tout autre motif, bombardent le tribunal administratif de recours tous azimuts ». Des azimutés, sans doute.