Mieux vaut tard que dieu
Hommage et intérêt
Ancien directeur de la MCLA, Jean-Luc Tardieu a perdu en première instance puis gagné en appel contre son ancien employeur et contre Libération. La cour d’appel a jugé que la diffamation était caractérisée et que son honneur bafoué par la conférence de presse annonçant sa destitution méritait 200 000 F de dommages et intérêts. L’affaire repart illico en cassation. L’honneur attendra.