N°119 – sommaire

Publié par lalettrealulu le

C’est pas tout ça mais Lulu vient de sortir. Le n° 119. Pas de chiffre après la virgule, juste le 119. Pile. Un numéro unique puisqu’il a été décidé qu’on ne referait plus de numéro 119. On est comme ça. Têtu·es.
Toujours soigneusement irrégulomadaire (et franchement c’est pas facile à respecter, l’irrégulomadairité).
Disponible partout où on le trouve, notamment ici pour 2 euros, en vrai papier, ou en pdf, même tarif, par là.

Au menu :

L’immobilier négrier. Nos conseils pour bien investir, avec une étude de cas magistrale à La Haye-Fouassière.

Méditation de pleine conscience : expérimentations sauvages dans les écoles de Loire-Inférieure, sans contrôles ni trompettes.

Valérie Pécresse a beau être pote avec Roux de Bèze, sa déculottée électorale va l’inquiéter pour garder son petit entre soi baulois.

La Baule n’aime pas les gens du voyage, et déclare la guerre. Carrément.

Bouguenais flique les Roms à l’école avec des contrôles aléatoires traquant le moindre écart écolebuissoniériste.

École écolo bidon : Audencia soigne le grinouachingue. Avec comme mécène Ferrero, un géant de la déforestation.

L’Ancap, une asso où chacun retape son bateau de plaisance au bord de l’Erdren qui devrait être dans la sérénité, l’entraide. Mais non, c’est la guerre.

Gare au flop ! La mezzanine de la gare de Nantes devrait être super fréquentée. Elle a coûté assez cher. Mais non, les usagers préfèrent le bon vieux souterrain. La culture underground contre le hall de gare perché et boutiquier.

Chauffe, congèle. Urgence climatique : un zoo qui veut une serre tropicale chauffée ; des chaufferettes de terrasses de bar jusqu’au dernier moment ; des patinoires à ciel ouvert qui gèlent même pas ; des canons à neige olympiques pensés ici. Il est apparemment urgent de faire n’importe quoi

Deux paysans aidés par Terre de Liens lâchés en rase campagne poussés à la faillite. C’est ça, l’agriculture sociale et solidaire ? 

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